Le Premier Homme
« En somme, je vais parler de ceux que j'aimais », écrit Albert Camus dans une note pour l'œuvre à laquelle il travaillait au moment de sa mort. Il y avait jeté les bases de ce que serait son récit de l'enfance : une odyssée temporelle et émotionnelle à travers ses souvenirs, un récit qui, sous couvert de fiction, revêt un caractère autobiographique exceptionnel. À la recherche de ses origines, il y évoque avec une singulière tendresse son univers familial, le rôle des femmes, celui de l'école, la découverte du monde extérieur... En filigrane, on découvre les racines de ce qui fera la personnalité de Camus, sa sensibilité, la genèse de sa pensée, les raisons de son engagement.
Après le succès de L'Étranger, le chef-d'œuvre autobiographique d'Albert Camus en bande dessinée.
Après le succès de L'Étranger, le chef-d'œuvre autobiographique d'Albert Camus en bande dessinée.
La presse en parle
«Le dessin de Jacques Ferrandez riche des couleurs du Sud sublime avec intelligence cette histoire triste et authentique» (France Inter).
«La force d'une oeuvre malheureusement restée embryonnaire, la beauté des illustrations d'un bédéiste en pleine possession de ses moyens, Le Premier Homme ne laissera personne de marbre.» (BDGest').
«Un témoignage important de la fin de l'Algérie française à laquelle Jacques Ferrandez rend un hommage graphique encore une fois réussi. Ses aquarelles, douces, transpirent de son amour pour un pays qu'il n'a de cesse d'explorer» (Métro).
«Jacques Ferrandez illumine le roman inachevé d'Albert Camus d'émotion et d'aquarelles.» (Le Soir).
«Empreint d'une infinie pudeur, beau, mais sec, Le Premier Homme prend sous ses pinceaux une ampleur inattendue et souvent émouvante.» (Télérama).
«Loin de dénaturer un Premier Homme ambitieux et introspectif, Ferrandez transmet l'essentiel de l'oeuvre tout en préservant ses zones de mystère. C'est brillant.» (Tribune de Genève).
«L'art de l'aquarelle de Ferrandez, né à Alger dans le même quartier que Camus, nimbe ce Premier Homme d'authenticité et de délicatesse.» (Le Monde).
«Jacques Ferrandez illumine l'univers de Camus» (Ouest France).
«Un dessin de lumière, un texte le plus près possible du dernier livre d'Albert Camus : Le Premier Homme version BD, apporte un témoignage vibrant sur les petits blancs d'Algérie.» (Atlantico.fr).
«Au fil de ses adaptations, Ferrandez se fait un passeur talentueux, un guide dans l'œuvre riche et complexe de Camus.» (Dernières Nouvelles d'Alsace).
«Un album intense, baigné de lumière, qui préserve avec élégance le caractère énigmatique de l'œuvre inachevée.» (Elle).
«En ressuscitant le langage ensoleillé et les gueules inimitables du petit prolétariat colonial, Ferrandez est fidèle à l'exigence de Camus: «Je voudrais parler au nom de ceux dont la parole est refusée.» (Le Figaro Littéraire).
«Le dessin et les aquarelles lumineuses de Ferrandez traduisent avec une indicible beauté des paysages écrasés de chaleur, le climat de cette Algérie du début du siècle. Il sublime avec intelligence et justesse cette histoire triste et authentique» (La Strada).
«Sans jamais trahir l'esprit de ce texte puissant, Jacques Ferrandez a réussi à lui conférer un surcroît de grâce. Un cas unique dans l'histoire de la BD.» (Historia).
«Une adaptation exceptionnelle sur tous les plans, une réussite magistrale et l'écho d'un roman qui interroge tout homme.» (La Revue des livres pour enfants).
«La force d'une oeuvre malheureusement restée embryonnaire, la beauté des illustrations d'un bédéiste en pleine possession de ses moyens, Le Premier Homme ne laissera personne de marbre.» (BDGest').
«Un témoignage important de la fin de l'Algérie française à laquelle Jacques Ferrandez rend un hommage graphique encore une fois réussi. Ses aquarelles, douces, transpirent de son amour pour un pays qu'il n'a de cesse d'explorer» (Métro).
«Jacques Ferrandez illumine le roman inachevé d'Albert Camus d'émotion et d'aquarelles.» (Le Soir).
«Empreint d'une infinie pudeur, beau, mais sec, Le Premier Homme prend sous ses pinceaux une ampleur inattendue et souvent émouvante.» (Télérama).
«Loin de dénaturer un Premier Homme ambitieux et introspectif, Ferrandez transmet l'essentiel de l'oeuvre tout en préservant ses zones de mystère. C'est brillant.» (Tribune de Genève).
«L'art de l'aquarelle de Ferrandez, né à Alger dans le même quartier que Camus, nimbe ce Premier Homme d'authenticité et de délicatesse.» (Le Monde).
«Jacques Ferrandez illumine l'univers de Camus» (Ouest France).
«Un dessin de lumière, un texte le plus près possible du dernier livre d'Albert Camus : Le Premier Homme version BD, apporte un témoignage vibrant sur les petits blancs d'Algérie.» (Atlantico.fr).
«Au fil de ses adaptations, Ferrandez se fait un passeur talentueux, un guide dans l'œuvre riche et complexe de Camus.» (Dernières Nouvelles d'Alsace).
«Un album intense, baigné de lumière, qui préserve avec élégance le caractère énigmatique de l'œuvre inachevée.» (Elle).
«En ressuscitant le langage ensoleillé et les gueules inimitables du petit prolétariat colonial, Ferrandez est fidèle à l'exigence de Camus: «Je voudrais parler au nom de ceux dont la parole est refusée.» (Le Figaro Littéraire).
«Le dessin et les aquarelles lumineuses de Ferrandez traduisent avec une indicible beauté des paysages écrasés de chaleur, le climat de cette Algérie du début du siècle. Il sublime avec intelligence et justesse cette histoire triste et authentique» (La Strada).
«Sans jamais trahir l'esprit de ce texte puissant, Jacques Ferrandez a réussi à lui conférer un surcroît de grâce. Un cas unique dans l'histoire de la BD.» (Historia).
«Une adaptation exceptionnelle sur tous les plans, une réussite magistrale et l'écho d'un roman qui interroge tout homme.» (La Revue des livres pour enfants).
Des mêmes auteurs
D'après l'œuvre d'Albert Camus